Yoel Romero , le combattant ultra explosif
Yoel Romero est un champion cubain de la lutte.
Il est aussi un pratiquant de MMA, avec un palmarès plein de victoires.
Il est connu pour ses capacités physiques quasi surnaturelles.
Ce n’est donc pas pour rien qu’il a décidé de passer à l’art du combat en cage, et il n’avait pas tort.
Qui est Yoel Romero ?
Né le 3 avril 1977 à Pinar del Río, à Cuba, Yoel Romero est un lutteur spécialiste de la lutte libre et pratiquant professionnel de MMA depuis 2009.
Il mesure 178 cm et pèse 84 kg.
En 2000, il a participé aux Jeux olympiques d’été dans la catégorie de poids des moyens et remporte la médaille d’argent à Sydney, en Australie.
Pour rappel, il a remporté au moins une médaille dans tous les plus grands tournois internationaux auxquels il a participé.
D’ailleurs, il est triple champion de la prestigieuse Westling World Cup et quintuple champion Pan-American.
En MMA, il a un palmarès de 13 victoires, dont 9 à l’UFC, contre 4 défaites.
Le 7 juin 2015, il a mis KO Lyoto Machida lors de l’UFC Fight Night 70.
Il a même décroché un bonus de performance de la soirée.
Lors du UFC 205 organisé le 12 novembre 2016, il a mis KO Chris Weidman.
Il rapporte une nouvelle fois le bonus de performance de la soirée.
Un combattant ultra explosif
Selon les dires des professionnels du MMA, Yoel Romero est un combattant ultra explosif.
Il a des capacités athlétiques hors-norme, et c’est l’une des principales forces de ce champion.
Il est très agile sur ses pattes, tel un léopard.
De plus, ses années de lutte lui ont permis de développer une force Herculéenne unique en son genre.
Lors de ses combats, personne n’est en mesure de résister aux assauts répétés du champion cubain : doubles-legs, power-doubles, balayages ou encore anckle-picks.
S’il veut amener son adversaire au sol, il y sera dans la seconde qui suit.
Pourtant, malgré ses capacités et ses victoires au UFC, le combattant cubain n’a pas encore reçu son combat pour le titre.
Pourquoi ?
Les experts estiment qu’il a une sale réputation et qu’il ferait mauvais genre pour le public américain.
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